… « En revanche, nous devons nous situer en dehors des lieux classiques de la production, pour voir apparaître ce travail. C’est en nous penchant sur les lieux de nos sociabilités ordinaires, sur nos interactions quotidiennes médiatisées par les nouvelles technologies de l’information et de la communication, que nous commençons à détecter des formes d’activités assimilables au travail parce que productrices de valeur, faisant l’objet d’un quelconque encadrement contractuel et soumises à des métriques de performance. Nous appelons digital labor la réduction de nos « liaisons numériques » à un moment du rapport de production, la subsomption du social sous le marchand dans le contexte de nos usages technologiques. »
www.inaglobal.fr/numerique/article/quest-ce-que-le-digital-labor-8475