« Index AFCDP 2019 du Droit d’accès 60,3 % des entités sollicitées ont répondu dans les deux mois impartis par l’ancien cadre légal, ce qui représente une nette amélioration. »
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« Quelques jours avant sa grande conférence annuelle (l’Université AFCDP des DPO, qui se tiendra le 16 janvier 2019 à la Maison de la Chimie, à Paris), l’AFCDP, association qui regroupe les DPO, publie son Index annuel du Droit d’accès. Au titre de la loi Informatique & Libertés, chacun peut demander à accéder à ses données personnelles. L’édition 2019 montre une meilleure prise en compte du droit des personnes. Mais qu’en sera-t-il l’an prochain, avec l’application des règles plus strictes imposées par le RGPD ? »
https://afcdp.net/spip.php?article837
Communiqué :
cp_afcdp_index_droit_acces_-_8_janvier_2019.pdf
« Le « noyau dur » des entreprises qui fait le mort descend à 33 %, contre 40 % les années précédentes
Bien que le pourcentage soit encore trop élevé, c’est une excellente nouvelle, mais il est regrettable de constater que le tiers d’entre eux avaient pourtant désigné un Correspondant Informatique et Libertés (le précurseur du Délégué à la Protection des Données). Faut-il aller jusqu’à, pour ces professionnels de la conformité, mettre en place des tests basés sur le principe du « client mystère » afin de leur permettre de vérifier que leur procédure de gestion des demandes de droits d’accès est connue et appliquée ?
Les personnes concernées étant de mieux en mieux informées et conscientes de leurs droits, elles n’hésitent plus à déposer une plainte auprès de la CNIL, ce qui se traduit par des saisines de plus en plus nombreuses des responsables de traitement par la Commission Nationale Informatique et Libertés. »